Llegé hoy a Balgüe... podriamos penser que es un pueblo perdido en une isla. Pero es màs que eso : es un lugar màgico. Los pueblos de esta isla son pequeños comunidades, donde la onda parece muy tranquilla. Cuando llegé al mediodìa aqui estuve un poco cansado. Piensé que iba a dormir un rato para descansarme. Pero sentì una fuerza que me jalò (me pousser?) afuera en la calle. Finalmente me fui a caminar. Y entendì que este lugar era diferente. La gente es muy agradable, te hablan facilmente, estàn curiosos de saber de dondé soy, me hablaron de su familia, de la vida en la isla, de la comunidad dònde son orgulloso (fiers) de vivir en paz, sin violencia. Mañana hay un torneo (match) de baseball, es el deporte national aquì, se puede ver a niños que jugan al baseball en la calle, ¡ es muy original ¡
Llegé hoy a Balgüe... podriamos penser que es un pueblo perdido en une isla. Pero es màs que eso : es un lugar màgico. Los pueblos de esta isla son pequeños comunidades, donde la onda parece muy tranquilla. Cuando llegé al mediodìa aqui estuve un poco cansado. Piensé que iba a dormir un rato para descansarme. Pero sentì una fuerza que me jalò (me pousser?) afuera en la calle. Finalmente me fui a caminar. Y entendì que este lugar era diferente. La gente es muy agradable, te hablan facilmente, estàn curiosos de saber de dondé soy, me hablaron de su familia, de la vida en la isla, de la comunidad dònde son orgulloso (fiers) de vivir en paz, sin violencia. Mañana hay un torneo (match) de baseball, es el deporte national aquì, se puede ver a niños que jugan al baseball en la calle, ¡ es muy original ¡
Cochinos (cochons) y perros (chiens) andan tranquilamente en las calles, peleandose (se chamaillant) a veces para comer la misma càscara de banano (peau de banane). Los niños todavìa estàn de vacanciones asì mucho jugan, participa a creer un ambiente jovial. Hoy somos sabado, los jovenes van a hacer la rumba pienso porque todos tienen trajes (vêtements élégants) y parecen haberse esmerado (je ne sais pas trop comment traduire... “se mettre sur son 31 ! j’ai utilisé un verbe qui veut dire nettoyer et entretenir qqch avec attention !!)
Escucho al ruido del viento en los arboles, las olas del lago, un poco de mùsica por supuesto (simpre se escucha mùsica! ), gente que estàn tomando (prendre un verre)... ya es la noche. Empezò a escribir este artìculo con el atardecer (coucher du soleil), cuàndo la luz esté muy fragìl. (Me encanto siempre el atardecer, disfrutar de los ultimos rayones del sol, cual que sea el lugar dònde estoy).
Ahora entonces estoy en el balcòn del hospedajito (petite auberge) que tiene una vista sobre la calle. Es muy divertido mirar a la gente que pasa en la calle. Unos con bicicletas, unos que parecen enamorados (¡quièn sabe!), familias, un chavo coqueto que da la mano a dos chicas guapas, una madre con su bebe, un caballero con su sombrero sobre su caballo... toda esta vida me gusta muchissimo.
Compartir esta bienaventuranza(Estado de ánimo de quien recibe de la vida lo que espera o desea. =felicidad) con ustedes es un real agrado (placer?).
Les deseo encontrar un dìa la comunidad de Balgüe o un lugar similar... quizàs me encontraràn allà en mi balcòn ¡
bertran
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Je vais poursuivre un peu en français tout de même car sinon je serai encore sur mon balcon demain matin pour le lever du soleil !! Alors, j’espère que vous avez su comprendre avec le petit texte en espagnol que je suis actuellement dans une petite communauté charmante, perdue sur l’île du lac du Nicaragua… écrire en espagnol fut pour moi un plaisir, retranscrire certaines choses en français, ce n’est plus le même charme, je suis certain que vous comprendrez ceci et me pardonnerez de vous écrire en une autre langue latine !
Le Nicaragua me charme tous les jours plus. Depuis mon arrivée à Leon il y a quelques 10 jours, je savoure ce pays. Les couleurs sont présentes partout, la population réellement agréable, accueillante et ouverte. Que de « bienvenidos en nicaragua » au detour de quelque promenade, rencontre au sortir d’un village.
Alors ces derniers jours :
Leòn : ville charmante où l’on s’est allègrement reposé. A une demi-heure du pacifique, un grand parc central, un hôtel accueillant et de petites ruelles colorées à foison débordantes de vie nous ont retenues quelques nuit. Notre période ici correspondait avec la pleine lune… nous en avons donc profité pour partir faire l’ascension d’un volcan de nuit, sous la Lune toute blanche… départ pour la marche à 23h30… arrivée au sommet vers 4h30 pour faire un feu, se reposer un peu et attendre patiemment le lever du soleil sur la chaîne des volcans, entre fumeroles du cratère (où nous n’avons pas vu de lave malheureusement au grand désespoir de guigui) et silence caractéristique des levers de soleil timides… un temps magique. La redescente sous le soleil fut bien moins agréable en comparaison de la fraîcheur de la nuit vous vous en doutez !!
Les argentins : nous avons passés quelques jours avec un couple d’argentins que nous avions rencontrés à Utila : Romina et Manu. Ils sont en vacances ici, ce fut très sympathique, et ainsi je me prépare pour les accents…. Bien prononcé tout de même !!
Le Pacifique : Grandes grandes vagues, grand amusement ! entre petits surfs, retournements, lutte contre le courant, galipettes et autres sensations fortes, mes premières expériences du pacifique furent très fortes. Par contre, en effet, connaître comment prendre les vagues est indispensable, nombre de baigneurs ont voulu en faire autant et se sont fait proprement et rapidement retournés, épongés, renversés avec du sable plein les poches ou sans le haut pour ces charmantes demoiselles aventureuses !! Je pense tester le surf lors de notre prochaine virée sur le pacifique dans quelques jours.
Granada : ville très coloniale et touristique, elle m’a parut plus difficile a apprivoiser. Ceci dit, nous dormions dans une auberge familliale qui se trouvait être l’ancienne demeure présidentielle (correction de Guigui, la maison d’enfance de l’ancien président), donc on a bien profité ! Nous avons fait une virée pour la journée à la lagune d’Apoyo, petite étendue d’eau entre les montagnes où on a pu se baigner après une petiiiiite rando, très apréciable.
Nourriture : je jongle difficilement entre fritures, cafés hyper sucrés ou instantanés horribles, viandes grillées dont mon corps en ce moment ne veut pas trop. Il fait tellement chaud que le mieux est de manger des fruits et légumes !! je me maintiens en bonne forme ne vous inquiétez pas. Je n’ai pas pris de poids certes je crois, mais je n’en perds pas et mange bien (entre chocolat, douceurs et autres plaisirs, je ne me laisse pas aller !! )
Le canoë : le lac est peuplé de plus de 350 îles charmantes qui sont plus ou moins habitées. Biensur vous vous en doutez, le guigui et moi rames à la main, on s’est lancé dans la découverte de ces îles sur nos beaux canoës vert et jaune !! moment très appréciable, et très apprécié ! au passage, le mec qui louait les kayacs nous a appris une nouvelle expression « diacachamba », l’équivalent de Pura Vida de la colombie.
Anecdotes :
× Guigui en est a sa 4ème parie de tongues, elle est sur le point de mourir elle aussi d’ici quelques heures d’utilisation… mission : trouver une paire de tongue assez solide pour tenir plus de 3 semaines !!
× Promenade en vélo…… nocturne par la force des choses : « On va se faire une petite ballade en vélo, ce sera sympa !! » Ben oui, je t’en fiche la petite ballade de presque 50 km (pour faire le tour du volcan vous vous en doutez, rien que ça !) sur les chemins escarpés… avec en plus un vélo qui perd son guidon… et de nuit pour la fin naturellement, trop facile sinon !! Ce fut très chouette… mais j’ai encore un peu mal aux fesses !
× « fais gaffe bertrand » me dit guigui en me poussant sur le côté. En effet, sur le petit chemin au bord d’une lagune, un serpent genre noir avec des anneaux rouges et points jaunes passe son chemin tranquillement, juste à l’endroit où je posais mon pied. Un local nous dis plus tard que c’était peut être un serpent corail, apparemment très venimeux (moi, je ne suis pas certain que ce soit celui-ci, mais comme je n’y connais rien.. ?) bref, rassurez vous : tout va bien, la vie ici est tout de même bien confortable et tranquille !
× Les singes hurleurs (monos auyederos) : ils peuplent l’île ici, leur cri est vraiment impressionnant, on croirait un gorille (même si je n’ai jamais entendu le cri d’un gorille en vrai !) quand il cris… mais en fait il est beaucoup moins encombrant !!
Et la suite… surprise, pour vous comme pour moi !!
Allez, je vous aime et vous souhaite de belles journées.
Bertran